La responsabilité des femmes musulmanes d’ordonner le bien et d’interdire le mal
Allah a rendu obligatoire l'interdiction du mal et l'interdiction du bien pour cette Oumma, et a associé à l'accomplissement de ce devoir le meilleur de ce monde et de l'au-delà. La Oumma n'atteindra jamais sa supériorité, ni sa force et sa noblesse, ni ne réussira dans la prospérité à moins que chaque individu, chaque homme et chaque femme, n'assume ses devoirs au mieux de ses capacités, le plus important d'entre eux étant d'ordonner le bien et d'interdire le mal. . Cependant, on peut constater que beaucoup de ceux qui sont conscients de la responsabilité d’ordonner le bien et d’interdire le mal et de son importance limitent ce devoir, soit dans la pensée et dans la pratique, soit simplement dans la pratique, au rôle des hommes et non des femmes. Ils pensent qu'il n'y a aucune exigence envers la femme pour ce devoir religieux. Cela entraîne une corruption et une ruine qui ne peuvent être cachées à ceux qui ont de l'intelligence et de la perspicacité ; l'homme qui est responsable de la maison peut se rendre à la mosquée pour prier son Seigneur, tandis que ses enfants, en présence de sa femme, voient et entendent ce qu'Allah a interdit.
L'auteur a abordé les questions suivantes dans ce travail
1. Ordonner le bien et interdire le mal est-il un devoir applicable aux femmes ?
2. Quelle est l’importance pour les femmes d’assumer cette tâche ?
3. Les femmes des Pieux Prédécesseurs assumaient-elles ce devoir auprès du grand public, de leurs amis et de leurs relations ?
4. Les femmes des Pieux Prédécesseurs accomplissaient-elles ce devoir parmi les savants et les étudiants en connaissance ?
5. Les femmes des Pieux Prédécesseurs ont-elles accompli ce devoir auprès des dirigeants ?
6. La femme peut-elle être nommée médiatrice sur un marché ? Quelle est la preuve pour ne pas lui permettre d’accomplir ce devoir ?
7. Quelles sont les preuves de ceux qui disent que cela est permis, ainsi que leur correction